Publié le 02-07-18

10 signes qui montrent que vous êtes addicts au running

Si pour toi le mot jogging ne devrait pas exister, que tu te mets à paniquer quand tu sais que tes baskets sont loin de toi et que tu passes des heures à explorer tous les chemins de ta région, tu es certainement touché par l’addiction au running. Voici 10 signes qui ne trompent pas !


1. Les personnes normales ne comprennent plus ce que tu dis


La moitié de tes phrases comportent

des termes techniques 

: VMA, FCmax, RP, VO2max ou encore pronateur ou supinateur.


Tu trouves ça normal mais le commun des mortels te regarde souvent avec de grands yeux écarquillés et se demande

dans quelle dimension tu vis !




2. Ton instagram est rempli de photos de baskets


D’ailleurs,

tu en as à peu près 40 paires

. Celles-ci pour la route, celles-ci pour la piste, celles-là en cas de pluie et ces dernières parce que tu aimais trop la couleur !


Elles sont immortalisées sur tes réseaux sociaux dans toutes les conditions possibles.



3. Tu deviens jaloux quand tu vois d’autres personnes courir


Et que

tu es bloqué loin de tes baskets

par une réunion de famille, ton travail ou tout simplement parce que tu dois faire tes courses.




A-t-on besoin de préciser que c’est carrément l’angoisse quand tu sais que tu ne vas

pas pouvoir courir pendant quelques jours ?


4. Tu trouves ça parfaitement normal de te balader en tenue de sport


Genre tout le temps, partout. D’ailleurs, tu ne portes presque plus de vêtements normaux que tu trouves largement moins confortables.


Et puis de toutes façons, ton armoire est majoritairement remplie de vêtements techniques. Autant les utiliser !



5. Tu es un as en technologie


James Bond n’a plus rien à t’envier tant ta panoplie est large ! Tu possèdes évidemment

ta montre de running

mais également

tous les derniers objets connectés.




Sans compter que tu es absolument incollable sur les marques, les tests, les comparatifs et les meilleures applis,

une vraie encyclopédie vivante du parfait runner.


6. Tu caches des barres d’énergie PARTOUT


La barre d’énergie, ou les fruits secs (au choix) c’est un peu la base de ton alimentation. Et comme tu es légèrement parano,

tu as toujours peur de ne pas en avoir sous la main

.




C’est pour cette raison que tu en retrouves régulièrement dans des endroits improbables.


Ce vieux sac à dos que tu n’as pas utilisé depuis des mois, dans le tiroir de bureau de ton collègue et même cachés sous ton matelas (on ne sait jamais !).


7. Une blessure et tu es au bout de ta vie


Ton meilleur ami est sans doute ton médecin traitant ou ton médecin du sport.

Tu vas très régulièrement le voir

pour soigner tes petits bobos.




Mais s’il t’annonce que tu vas devoir ralentir le rythme, voir te mettre au repos pour soigner cette vilaine tendinite, ton monde s’effondre. Heureusement, après la colère, la négociation et la tristesse,

tu finiras par rentrer dans la phase d’acceptation.


8. Tu trouves ça normal de payer pour courir


C’est une chose qui fait bondir tes amis non addicts : payer pour participer à des courses.




Les pauvres ne comprennent pas le plaisir qu’il y a à partir à 300 personnes et à se faire des copains de running sur le chemin.


Mais surtout, la satisfaction de s’être dépassé et d’avoir terminé dans les temps en fin d’épreuve. De pouvoir dire que tu es fier d'avoir parcouru une telle distance, d'autant plus quand tu bats l'objectif que tu t'étais fixé !


9. Tu ne vois plus les paysages mais de bons spots pour courir


Quand les autres voient un parc agréable où pique-niquer sur l’herbe, tu trouves que ce serait un super endroit pour travailler ta VMA.




C’est simple, tu vois tout à travers le prisme du running !


Et quand tes amis te proposent d’aller faire une jolie randonnée, tu te dis que ce serait bien plus agréable au pas de course. Et d'autant plus lorsque la chaleur s'atténue, qu'il n'y a plus grand monde et que tu te retrouves donc seul avec la nature.


10. Tu sors courir dans toutes les conditions


Pour rien au monde tu ne renoncerais à tes sorties ! Quand le runner moyen restera au chaud en voyant arriver la pluie, le vent ou l’orage,

tu y verras une excellente opportunité de travailler ton mental et ton cardio.



Il arrivera peut-être que tu regrettes en cours de route, mais les endorphines feront leur travail et

tu rentreras toujours satisfait !


Un article de CVerrier